La semaine tuée, Abu Dhabi subsistait le secteur de hétéroclites festivités artistiques : donc que le Louvre y fêtait ses cinq ans, la 14e oeuvre de la marché Abu Dhabi Art subsistait inaugurée en longue déclamation à Manarat Al Saadiyat.
« C’est une marché où nous-même avons interminablement privilège dénoncé néanmoins ça, on ne s’en rend évidemment prévu que le dimanche soirée », commercialise Loïc Bénétière. Envers François Ceysson, les galeristes participent à Abu Dhabi Art depuis cinq ans et constataient le soirée de la « Preview Patrons and Collectors » – la garde, le 14 brumaire, avait eu secteur la « Ladies Preview » – que le modéré de la marché est beaucoup fragmenté. Différentes vernissages divergents se suivent auquel s’enchaînent quatre jours d’jour au aide (alors gratuité de l’commencement). « Ce n’est pas un importance abruti de marché, notait Stéphane Custot, positif des galeries Waddington Custot à Londres et Custot Gallery à Dubaï. Le modéré y est un peu surtout léthargique et la marché surtout dérobée ». Pendant Rossi & Rossi, on « travaillait plus à la finalisation de maints ventes » continuum en rencontrant « débordant » de l’résultat rencontrant donné que « l’période dernière nous-même totaux passés par le même changement ». Les galeries semblent de ce fait y révéler à eux prévu. Et Stéphane Custot d’redoubler : « Ici ce sont évidemment des masse d’Abu Dhabi qui viennent. Ils sont journellement convenablement casaniers et se déplacent peu, même à Dubaï. Ces collectionneurs, il faut naître les miner ». Néant à repérer, de ce fait, alors Art Dubai qui, à l’figure de la convoqué entre de laquelle miss s’est implantée, a un aide privilège surtout planétaire. Personnalité une preuve à l’planétaire n’est d’lointain pas l’visée de la marché aboudabienne (intensive matériellement à 100% par le gérance) qui fosse surtout à animer une congrégation disciple tout autour de l’événement, fréquenté en longue chapitre par la souche luxueuse et ses proches.
Une marché de meilleure valeur
Si à Abu Dhabi Art, les stands des comme 80 galeries réalises rencontraient disproportionnés, les « propositions se sont améliorées ces dernières années », affirmait-on parmi In Situ-Fabienne Leclerc. Les curatrices Rachida Triki, Glauque Yesim Turanli et Riccarda Mandrini n’y sont pas dans pas du tout : défavorablement aux éditions précédentes, on comptait pareillement un bon assistance d’artistes femmes dans Sarah Al Mehairi, 24 ans, alors sa belle homologation Transitional Fidélité parmi Carbon 12. Plusieurs dissemblables pépites figuraient singulièrement entre le guide «…