En foire, Askhal, l’interview de Tunis. Le chef pellicule de Youssef Chebbi, volontaire à la Quinzaine des Réalisateurs au Festivité de Cannes, et qui lui a valu contraires coût.
L’fable se goulet à cause un des bâtiments des Jardins de Carthage, un débutant élément de Tunis bâti par l’démodé climat et interrompu initialement de la subversion et laissé à l’arrêt. Paire flics, Fatma (Fatma Oussaifi) et Batal (Mohamed Houcine Grayaa), découvrent le aileron calciné d’un huissier. Tandis que les chantiers reprennent graduellement, ils commencent à se plier doigt sur ce cas ésotérique. Sinon un désordre semblable se article à cause un étrange cadastre encaissée, plus un étrange, l’interview prend un rythme comique. C’est là que les une paire de flics font à eux initiation vraie en podium. Lui est arriéré et responsable. Sézigue est sobriété et passionnée. Ce duo asynchrone malheureusement accessoire devra décanter l’mêlée de ces immolations mystérieuses.
Tiré en salles le 25 janvier, en France, le grand longueur est idéal par Youssef Chebbi, comme Fatma Oussaifi, Mohamed Grayaa, Rami Harrabi, Hichem Riahi.
Là-dedans Askhal, le faiseur utilise le feu pendant terme de la dégoûté tunisienne. Il faudra disposer à l’entendement l’sacrifice de Bouazizi, de Sidi-Bouzid, le 17 décembre 2010. Le feu devient à la jour expression de la crevé et du modification à cause une Tunisie cendré et vers bout désabusée.
« D’une fascinante raffinement »
Puis toutes les composantes du polarisé et une agité impossible, le pellicule dénonce l’dépendance d’un public et les dérapages de la tyrannie comme son bielle armé, les forces de ordre civile. « La Tunisie a éternellement été un Relevé inspecteur, stipulé Youssef Chebbi, à cause lesquels le habile de l’Pensionnaire agissait pendant le efficace Liminaire habile ». En conséquence, en dessous entouré d’enquêtes et d’intrigues, le pellicule qui se veut inspecteur, sert à indiquer étouffement et monarchie.
Puissamment salué par la disputé, l’opus de Chebbi a récolté les éloges ; « Un polarisé qui a le feu sacré. » stipulé Indépendance. « D’une fascinante raffinement. » Télérama. « Un pellicule noirci à la pression impossible. » Nova. « Un polarisé impossible, encore reliant que démesuré. » So Cinématographe. « Un polarisé reliant. » Le JDD
Askhal, l’interview de Tunis a été présenté au Festivité de Cannes 2022, à la Quinzaine des Réalisateurs. Il a décharge le Somme de Cinemed 2022, l’Antigone d’Or, le Somme de la disputé BNP Paribas, le Somme Jam de la meilleure chanson. Retenant à avertir au ciné-club.
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